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60 millions de social-traîtres II

« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)

Bites par seconde (pas exactement)

Que de réactions, mes aïeux, à mon dernier article ! Le Minitel fait toujours vendre, c'est incroyable, quel succès manifeste, et français encore ! Deux réactions en moins de vingt-quatre heures, c'est du jamais vu. Un titre de message, seul, d'abord : L'Étron et le Néon, qui fleure bon la tuyauterie existentialiste mais dont je ne saurai jamais ce qu'il préambulait réellement vu que son auteur a oublié de valider sa (son) prose. Nul doute n'est permis cependant sur le fait qu'il s'agît des affres du constipé aux chiottes sinistres car mal éclairées de la gare de l'Est, et j'attends !

Enfin, l'ineffable (et ineffé) Lee Beria Junior, qui n'est pas un footballeur brésilien et qui me traita de Jean Daniel parce que je versai dans une nostalgie haïssable selon lui. « Les doigts, Calvus-Mons ! — Non, pas les doigts, patron ! — J'ai dit les doigts, Calvus-Mons ! » Et aïe, sur les doigts la règle en métal qui se dilate avec la chaleur. J'aurais préféré une règle dilatable d'un autre bois, car on n'en est pas (de bois).

La question est quand même posée : évoquer le passé est-il automatiquement assimilable à de la nostalgie ? En 75 bauds et sans regrets, ça m'étonnerait.

Nikita Calvus-Mons le 24/05/06 à 06 h 41 dans Littéraire-traître
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