60 millions de social-traîtres II
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
Blogs hystériformes
Peut-être le mal du siècle c'est l'emballage
Diabologum
Diabologum
Plaie connue : l'imitation creuse de B. E. Ellis : coke, sexe, désespérance, névroses de riches mâles sans cervelle et sans style. Poubelle. (Post exemplaire ici : « Premier saignement de nez Mardi 13h45 après un foie gras tièdement poelé. » (sic) En rire, en chialer ou appeler les mœurs ?)
Moins connue : la blogosphère des pétasses. Égaré, j'y cherchais du style, en partant de chez une barefoot contessa qui ne raconte pas que des stupidités (voir colonne de droite). Foiré, complètement. On y « papote des sorties cinéma », il y a des fournées de points d'exclamation injustifiables à tous les coins de phrase (l'équivalent du smiley chez les hystériques) et un sac Gucci peut y justifier douze posts à valeur soustraite. Pas une pour parler de Ray Bradbury, salopes !
Kate Moss y est moche, ce qui se discute chez les mâles, mais plus du tout chez les tassepés. Axiome.
Hors de la mode et des peoples (je préférerais une hispanisation : pipoles, comme futbol, mais bon), il n'y semble s'imaginer aucun salut. À côté, Sean Bateman, c'est Rousseau.
Je vais encore passer pour un facho, Léa. Mais le AK-47, utilisé comme tu l'imagines, me semble un châtiment encore timide pour réduire au silence ces mesquines-là.
Nikita Calvus-Mons le 23/09/06 à 20 h 04 dans Littéraire-traître
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