60 millions de social-traîtres II

A. pointe, sur trois posts, un truc problématique chez les entrepreneurs gagnants-gagnants de Cafepress.com. Je suis donc allé y farfouiller, muni de mon mauvais esprit, à la recherche de trucs bien déviants dans la catégorie France, et même si je n'ai pas été forcément comblé sur le front du pur French-bashing (cet humour d'un racisme assez limpide dont il est salutaire de rire), j'ai quand même été servi, au milieu d'un tas de créations immondes — sur le plan strictement artistique —, par deux ou trois choses vraiment intéressantes. Il faut goûter ce type d'humour, c'est particulier, c'est comme les huîtres ou les cuisses de grenouille.

Ah, les cons... Mais revenons au French-bashing bien crétin : j'aime particulièrement le design de celui-ci, fait sous Word par pépé, avec le traducteur automatique de Google pour la petite touche cherry on the cake :

Car au fond, G. ne me contredira pas : c'est toujours avec les Allemands qu'on rigole le plus. (Il y a ce magnifique échange de répliques dans Snatch, que je vais citer de mémoire. Le premier branquignol demande au second branquignol, qui vient apparemment de s'acheter un gun, alors que ça n'a pas l'air d'être le genre de la maison : « What in the hell do you need a gun for? » Et l'autre, comme une évidence : « Well, for protection! — Protection from what? Zeee Germans? » Je m'en urine dessus, tiens.)