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60 millions de social-traîtres II

« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)

Féminisme

Une amie féministe m'a raconté hier soir une histoire incroyable et absolument répugnante dont je compte faire une nouvelle. C'est à base d'asticots dans ta chatte !

Les paroles tristes du refrain de la Ballade de Lucy Jordan (pourquoi ne traduit-on jamais les titres de chansons, après tout) sentent Françoise Sagan, les années 60, les décapotables et la liberté factice :

at the age of thirty-seven
she realised she'd never ride
through Paris in a sportscar
with the warm wind in her head

Marianne Faithfull... Aujourd'hui, on a Camille et Zazie, ou la Grande Sophie... (Allez, dans le meilleur des cas, Charlotte Gainsbourg... et Jeanne Balibar ?) Les perspectives ne sont pas des plus réjouissantes. En ce moment, iTunes diffuse sur mon ordinateur un morceau pénible d'Émilie Simon. Je lui laisse trop d'initiatives, à celui-là. Tiens, à présent, du dub. Basic, de Zenzile.

Les filles jouent-elles du dub ?

Bordel, ce texte est complètement réactionnaire. C'était mieux avant ? Ah bon, et France Gall, c'est du Mozart ? Connard.

Nikita Calvus-Mons le 29/09/06 à 20 h 50 dans Musical-traître
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