60 millions de social-traîtres II
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
Quant à « Un crime », c'est un navet
Veuillez m'excuser mais 1/ ne supportant plus les tronches de ces deux abrutis de faux punk et rastaboy et 2/ m'étant donné pour règle d'assumer tout ce que je publiais ici et par conséquent de ne rien jeter à la poubelle après usage, je vais écrire à présent un post (ou article, ou billet) creux dont l'unique utilité sera de faire descendre un petit peu lesdites gueules de raies, surtout le rasta, que je ne peux vraiment pas saquer. C'est de ma faute, j'ai voulu faire l'équivalent photographique d'un bon mot, je le paye.
Une autre fois, je dirai tout le mal que je pense du mot kabbalistique utilisé à mauvais (car pédant) escient par une correctrice de renom, dans un texte-manifeste qu'on trouve un peu partout en ligne. Par ailleurs, ce texte est très bon ; la pédanterie est d'autant plus impardonnable qu'elle intervient dans les dix premières lignes, comme une mauvaise provocation, quoi. En revanche je n'évoquerai pas le blog célèbre d'un duo de correcteurs émargeant au budget d'un gros quotidien, qui trouve le moyen de faire au moins une faute de typo par jour, dans des posts ne dépassant pas les dix lignes ! Je ne l'évoquerai pas car il existe dans ce milieu comme dans d'autres une déontologie assez stricte qui protège les médiocres : il est interdit de critiquer le travail d'un collègue.
Bon, les deux connards doivent être assez bas, maintenant. Bonne nuit.
Nikita Calvus-Mons le 19/10/06 à 00 h 56 dans Social-traître
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