60 millions de social-traîtres II
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
En ce temps-là, Narcisse ne connaissait pas Wilkinson
Ah, le joli mois de mai 2006. Personne ne m'aura fait le coup du piolet dans le dos, au Mexique. Pourtant, je l'avais cherché.
Nikita Calvus-Mons le 10/10/06 à 16 h 41 dans Social-traître
Article précédent - Commenter - Article suivant -
Commentaires
← Re: au fait
Le pire c'est qu'à l'époque, je me rendais pas compte du tout de ce look quasi, euh, christique (mystique, plutôt), par certains côtés. Mais un jour à l'ANPE Spectacles où j'accompagnais ma chère soeur, elle est tombée sur une annonce, une production cherchait un type pour faire de la figuration en tant que Che Guevara, et elle m'a dit « eh c'est pour toi, ça ! ». Photo du Che à l'appui sur l'annonce, il est vrai que c'était jouable. Le problème résidant sans doute dans le fait que je ne sais pas jouer.
Je crois que j'ai battu tous mes records cette année en matière d'indécision pileuse. Je fais des essais, quoi ! C'est drôle.
60millions - 11.10.06 à 14:08 - # - Répondre -
Sur un fond rouge avec un bérêt...
Et la victoria?
Siempre?
Laissons s'évader les mois,
Et la tempête, excitée,
S'en ira.
Seule et avide dans l'éternité.
Ne mords pas tes petits doigts,
Tant fustigés, ils ne s'en remettront pas.
Offre moi tes petites pensées
Filles du désarroi.
Viens pleurer dans mes bras,
Laisse s'échapper ta triste voix.
Je te serrerai pour t'aimer.
Et te faire oublier, ces idées.
Je te laisserai t'épandre.
Et deversé ta solitude.
Dans ma poitrine décharnée,
Par tant d'angoisses et d'amertume.
Vogue dans la vie,
Et vire le vague à l'âme.
Petit ours averti,
Ne sors pas sans tes armes.
On m'a dit un jour,
Ne pense qu'à l'amour.
Aujourd'hui, il m'a tué.
Triste vanité.
Petit coeur empli de ferveur.
Douce est la vie,
Les rêves sont plus faciles,
Un jour , tu trouveras
Ce doux pays d'asile.
Qui chaque jour,
Apaisera tes craintes,
Et chaque nuits,
Te fera boire cette absinthe.
A le vie, à l'Amour,
Un pas de plus,
Et c'est tant pis.
La vie est obstacles,
Mais l'espoir né.
Qu'il soit bienheureux car il nous fera tenir.
Douces récompenses, et bonheurs à venir.
________________________________
Espoir ou désespoir? Je n'en sais rien. En tout cas l'amour et son élan me font écrire ça.
Je suis bourrée, j'ai bu trop de mojitos.
(Tellemment bourrée et sans thune, j'ai niqué un tacot.Ca craint. Je sais. Qui n'a jamais volé de bonbons? Et bien j'en aurais volé dix.)
De toutes façons j'ai tous les droits, j'ai perdu un ange il y a une semaine.
En tout cas, la chose ci-dessus est pour Toi.
Tagada - 14.10.06 à 11:04 - # - Répondre -
Et moi, et moi, et moi !
Ah ! Tiens ! De la drague lourde à base de poésie à la con !
guimauve - 14.10.06 à 18:33 - # - Répondre -
← beuh
Et alors?
Ne répands pas ton aigreur sur les autres.
Tout le monde n'est pas Rimbaud.
Mieux vaut écrire et risquer d'être mauvais, que ne rien faire du tout et ruminer son incapacité.
Gros frustré jaloux va!
Mets toi à l'écriture et trouve toi une nana, ça passera tu verras.
tagada - 15.10.06 à 10:36 - # - Répondre -
← Re: beuh
Guimauve est jalouse. Moi, je trouve ça pas mal comme poème vu le nombre de mojitos. (Le truc le plus poétique étant d'avoir volé un taxi. C'est un rite initiatique important !)
Enfin, je précise que les engueulades sont interdites ici, surtout si c'est pour donner dans la critique Masque et la plume. Laissez venir à moi les jeunes filles, bordel.
60millions - 15.10.06 à 11:15 - # - Répondre -
←
Non, on ne s'engueule pas ici, on converse.
Mais bon tout de même, laissons s'exprimer l'art de chacun, mais s'il est limité.
J'ai honte d'avoir volé ce taxi....
Ca faisait un petit bout de temps que j'en avais envie remarque.
Mais je cherchais la tactique.
Boh, je suis monté dedans et c'est venu tout seul.
Oh et puis pour une course à "5 euros 10 centimes"....
Une fois mais pas deux.
On ne m'y reprendra plus.En tout cas pas avec un taxi.
Promis,
Juré,
...mais je n'aime pas cracher....
tagada - 15.10.06 à 11:33 - # - Répondre -