60 millions de social-traîtres II
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
Pourquoi tu es une merde
Au début vient cette pensée, naturelle, mais reçue : « Les critiques sont des artistes frustrés. »
Puis le temps d'une réflexion qu'on imagine mûre : « Forcément, s'il existe le métier de critique, c'est qu'il vaut quelque chose en soi ; c'est qu'on peut le choisir contre celui d'artiste, le choisir positivement, sans frustration. Choisir ce métier doit être respectable ; une éthique de la critique est envisageable. »
Puis on arrête enfin d'être con et on en revient à : « Le critique est un raté aigri qui ferait mieux de fermer sa gueule, sauf qu'il est stipendié ; contentons-nous donc d'ignorer ses postillons. »
Nikita Calvus-Mons le 11/10/06 à 02 h 25 dans Social-traître
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