60 millions de social-traîtres II
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
Enfin raccord avec le sous-titre de ce site !
Le Café de la Danse accueille Jennifer Charles, Oren Bloedow et leur groupe Elysian Fields demain soir ; le Lylo dit « pop-jazz-indie » pour définir la musique classieuse du duo new-yorkais, et après tout pour une fois ce n'est pas complètement idiot, on n'allait pas dire « jazz-rock » non plus, hein, il faut savoir raison garder.
C'est un groupe que je rêve de voir depuis 1996 et la première fois que j'ai entendu Lady in the Lake. Je ne le raterai pour rien au monde sur scène et j'informe donc tout un chacun que :
- qui m'aime me suive, et
- qui ne peut pas me saquer mais aime quand même les belles chanteuses post-punk (si, chronologiquement, au moins) à la peau mate me suive aussi.
Sur une finalement assez moyenne compil de John Zorn dédiée à Gainsbourg, ils reprennent Les Amours perdues, somptueux et languide tour de force comme disent those fuckin' Yanks. Ceci pour achever de convaincre les indécis qui, en l'espèce, seraient une belle bande de connards.
Nikita Calvus-Mons le 02/05/06 à 12 h 38 dans Musical-traître
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