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60 millions de social-traîtres II

« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)

Pendant qu'on assassine Paris

Me voici dans ce bar de la rue de Crussol au nom stupéfiant de pertinence (n'en fais-je pas un peu trop, ici, pour mon retour ? et cette parenthèse, d'entrée de jeu, simplement pour plaire à Philou ? je ne suis qu'une pute, tiens) : L'Embuscade. Lieu à conseiller, car pétri d'humanité (cliché numéro 264), dans une ville pourrie jusqu'au trognon par le mensonge commercial.

Et je n'ai rien à dire de particulier qui puisse tenir en trois phrases, à part que je suis toujours vivant, que 2009 est la première année d'un nouveau cycle en ce qui me concerne, consécutif à un cycle très mouvementé de huit (8) ans qui coïncida dans le chaos avec ce qu'on appellera, pour faire court, les années Bush. Mais bien sûr il ne s'agit que d'un pur hasard.

I'll soon turn 35. Vous serez invités à la noce.

Nikita Calvus-Mons le 03/02/09 à 20 h 08 dans Social-traître
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Commentaires

L'Embuscade

Très attirant, ce bar. Je passe souvent devant et à chaque fois j'ai envie d'y entrer. Sûrement un jour.

monierza - 09.02.09 à 14:19 - # - Répondre -

Re: L'Embuscade

Les deux frangins qui tiennent ça sont très sympathiques. Ils perpétuent un classique parisien : le couscous gratuit du vendredi soir. Il y a des jolies filles et des jolis garçons à l'apéro. Ca se la joue pas. C'est bon !

60millions - 10.02.09 à 22:01 - # - Répondre -

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