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60 millions de social-traîtres II

« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)

« Qu'il est bon de se caresser l'Angoulême en l'Hostel Crillon ! »

Ah, tirer sur les ambulances, quel plaisir de fin gourmet. Petit film très drôle de Julien Ferrand sur la dernière pantalonnade germanopratine. (Merci à Di Folco.)

Nikita Calvus-Mons le 13/11/06 à 15 h 16 dans Poétique-traître
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Commentaires

ambulance cadillac

Euh... On tire pas, on filme décalé, enfin Julien (car je n'ai pas fait grand chose) filme juste au dessus de la meute (analyse l'angle, tu verras) et puis "ambulance" ??? Off, Madeleine parlait de sa résidence en l'Île de Ré (un centre élargi de maisons de retraite pour rombières cacochymes ??? non, une zone sous hypercontrôle pour riches ex-gaucho). Ce qui est drôle selon moi c'est que JF force à peine le trait pour illustrer cette comédie. Les ors du Crillon, les portes qui s'ouvrent et se ferment, les visages usés, la pompe, et surtout le VIDE tout ça existe en 2006 à Paris France.

difolken - 15.11.06 à 10:31 - # - Répondre -

Re: ambulance cadillac

Je viens de comprendre de quel Julien il s'agissait (je suis lent à la détente). Y avait-il un commanditaire à ce petit film, un diffuseur prévu, autre que le Web ?

Madeleine Chapsal dans le film me fait penser, en 1012 fois moins sympathique, à Joseph K., mais c'est sans doute parce que je viens de finir de dévorer l'essai que Kundera lui consacre (en grande partie). Car en fait le rapport est douteux.

Vide, vide, vide. Anxiogène, un peu.

60millions - 15.11.06 à 10:56 - # - Répondre -

Re: Re: ambulance cadillac

Chapsal a rencontré Bataille l'année de sortie du film Le Procès (de Welles) soit en 1962 mais le pauvre est mort peu après. Tout ceci expliquerait tout ça.

difolken - 27.11.06 à 18:59 - # - Répondre -

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