60 millions de social-traîtres II

Que le vent du nord rafraîchisse mon encéphale

Il faudrait que quelqu'un se dévoue pour commercialiser un éthylo-test spécialement conçu pour les blogueurs. On soufflerait dedans et en cas d'intoxication trop sévère, message d'alerte : VOUS RISQUEZ D'ÉCRIRE TROP DE CONNERIES, AVEC TROP DE VÉHÉMENCE.

Je ne sais pas si vous avez remarqué mais je tiens très bien l'alcool. Je sais, on ne se connaît pas (sauf toi, et toi, et toi), mais ça se voit aussi à l'écrit : pas de faute grossière d'orthographe, notamment. C'est ennuyeux, de tenir l'alcool. On a beaucoup moins conscience des risques. Par exemple, en voiture. Je ne sais pas si je vous ai raconté... Non, je ne vous raconterai pas. Pas de quoi en être fier, de tenir l'alcool. C'est réellement un handicap. Plus on tient, plus on boit. Bon, rien de nouveau sous le soleil.

Que cela ne m'empêche pas de vous conseiller d'écouter le très joli The North Wind Blew South des Headless Heroes. C'est une reprise, je crois (forcément, c'est dans un album de reprises, contenant également des versions de Nobody's Baby Now — Bad Seeds — et Just Like Honey, la scie noisy de la chaîne Jésus-Marie qui illustrait le cosy Lost for Translation, if my memory is good). Mais je ne sais pas de qui, la reprise du vent du nord. Et une fois n'est pas coutume, je n'en ai rien à secouer. Mais rien.

Au passage, signalons que la ligne de basse de Dy-na-mi-tee (Ms Dynamite) est géniale. Un point c'est tout.

Nikita Calvus-Mons le 27/02/09 à 17 h 14 dans Musical-traître
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