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60 millions de social-traîtres II

« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)

Je me fais la Grosse et après j'arrête, c'est épuisant

Un autre historique du Web est Grosse Fatigue : ce type, je le connais depuis l'époque où je travaillais pour « le Parisien du ouaibe »*. Quand je dis que je le connais, disons plutôt que j'avais sélectionné son site à l'époque et j'avais même écrit personnellement au type, dont j'appréciais beaucoup le style (on ne faisait pas toujours ça : la plupart du temps on envoyait des courriers types : l'alliance de l'éditorial et de la bureaucratie). À l'époque, peu de gens écrivaient correctement en ligne. Je trouvais qu'il en faisait partie et comme je savais à peu près quoi faire du fric promis par le Nasdaq, je lui avais proposé, comme ça, en l'air mais pas tant que ça, de le publier, de publier son roman et d'entamer ainsi une amusante aventure d'édition. Et puis ça ne s'est pas fait ; ça se saurait. À la place, j'ai joué au bourgeois pour séduire une fille, et puis je me suis repris, et j'ai monté ce bar que le monde nous envie.

Donc Grosse Fatigue je connais bien. J'ai fait un tour sur son site hier, en partant de Radical chic le mou de la gaule, c'est un peu la bande du Minirezo quoi, toujours les mêmes depuis uZine, peu de talent d'écriture, surtout des chroniqueurs, à part GF donc, qui, pour chroniquer lui aussi, possède un style pas dégueulasse. Mais Grosse Fatigue en 2007, hélas, tourne un peu bêta. Ainsi il vote pour qui vous savez, et il ira apparemment en se bouchant le nez, et ne manque pas de nous le faire savoir sur un nombre de lignes conséquent et pour l'avouer franco, un brin indigeste (hiatus ? alors un brin-t-indigeste, tiens, soyons fous).

Bref, on s'emmerde un peu, ça sent fort l'aigreur. Mais c'est encore une fois des commentaires à l'article que notre salut viendra. Vu que son texte flirte quand même un peu avec la réaction, il y a quelques jeunes cons qui s'en offusquent et tirent à boulets rouges sur Papy. Faut pas ! Des « historiques » (comme moi, quoi), des gens qui s'enorgueillissent de lire l'animal depuis dix ans, montent au créneau : et que, en substance, il faut respecter Grosse Fatigue parce que Grosse Fatigue c'est bien (il ne suffit pas de l'annoncer, grosse buse, il faudrait encore qu'on nous le prouve, non ?) et que, argument massue, Grosse Fatigue c'est un vieux de la vieille, un vrai de vrai qui était là avant ces saloperies de blogs, qui bricolait du HTML à la main et n'avait pas besoin comme maintenant les jeunes de ces plateformes automatisées qui, démocratisant l'expression écrite, la dévalorisent, gnagnagna...

Je connais le discours, c'était le mien justement à l'époque de tous les tocards qui « bricolaient du HTML » : la plupart du temps, rien à dire ; mais un nombre de sites ahurissant était créé chaque semaine. De ce point de vue-là, le blog n'a rien fait empirer ; il a confirmé. Que ? Que tout le monde n'est pas fait pour écrire, la belle affaire ! On le savait déjà depuis Amélie Nothomb. De plus, chose appréciable, les nouveaux neuneus qui bloguent ne font pas joujou avec des langages qui les dépassent : ce qui évite à nos navigateurs de planter sous l'assaut d'applets Java déviantes ou de scripts copiés-collés chez Boulet.com et c'est, par la malepeste, déjà ça !

Le deuxième avantage des blogs — outre qu'il y en a une flopée de bien écrits, bien plus qu'il n'y avait de sites un tantinet littéraires à l'époque où, je me répète, mon boulot consistait à me taper tous les sites non commerciaux qui me passaient sous la main — réside dans le fait que, tout automatisée et un peu idiote qu'elle soit, une bonne plateforme fait presque toute seule, en wysiwyg veux-je dire, le premier boulot d'édition et de mise en forme que Grosse Fatigue n'a jamais fait sur son site, par exemple, qui est l'illustration parfaite de ce que demeure, most of the time, l'écrit sur le Web : peu relu, jamais corrigé complètement, rarement édité correctement. Le blog bien utilisé remédie un petit peu à ça, cent fois plus en tout cas que les sites faits « à la main » et à moitié, comme celui de GF l'a toujours été : aucun choix actif de police de caractères — que font rarement les blogueurs, certes, mais les modèles utilisés sur les différentes plateformes ont toujours au moins le mérite de se débarrasser de l'affreuse font centriste Times New Roman —, aucun choix d'alignement, aucun début de mise en page. Il me rétorquera que c'est un boulot d'éditeur ou de maquettiste et n'aura pas tort. Mais c'est justement pour cela que je m'élève contre le commentaire de son lecteur idiot contre les blogs (bordel, dans le convoi des gros cons, avec les open-sourceux, celui-là !). Car les blogs servent au moins à présenter un peu mieux certains sites dont la seule qualité littéraire ne peut pas suffire s'ils n'attirent pas un minimum l'œil (trois articles, les plus récents, de GF, dont celui sur Royal, sont d'ailleurs publiés avec Spip et c'est déjà tout autre chose, du strict point de vue de la lisibilité, c'est-à-dire du respect ou, si l'on veut éviter les grands mots creux, de l'attention portée au lecteur). De nos jours, un type ayant quelque chose à dire, mais aucune envie de se coltiner de la technique pure et rébarbative pour présenter correctement son travail, peut le faire assez simplement. Et je ne vois pas en quoi ceci serait mal.

(Pour la première fois ou presque, je vais faire la pub de mon hébergeur Viabloga qui est sans aucun doute la meilleure plateforme de publication en ligne, gérant de main de maître la typographie française autant que faire se peut. Reste à gérer les apostrophes pour que ce soit presque parfait, mais enfin, bon, ne soyons pas plus pinailleurs que... la pine ?)

Grosse Fatigue, ça se sent, même dans ses bons textes, comme celui sur les élections, et attention là je vais partir dans une théorie un peu osée, au risque de déraper mais, bis repetita placent, soyons fous : il s'intéresse un tout petit peu à la typo, parce qu'il est obligé ; il fait peu de fautes d'orthographe mais il en fait quand même et on sent à des petits détails qu'il s'en branle, que la forme il s'en secoue, et ce n'est pas un souci majeur, non, c'est après tout la preuve qu'il a échappé à une névrose de plus. Ce qui est troublant c'est la façon qu'il a de mettre systématiquement le point en dehors de la parenthèse, de façon soit parfaitement juste, mais c'est un coup de bol, soit complètement fausse, ce qui est révélateur**. Je vois dans cette manière de soigner le placement du point, de persévérer dans l'erreur, une confirmation des petits blocages psychologiques qui le font voter pour Royal en l'insultant, et ne pas donner au clochard qui campe devant la boulangerie parce qu'il « ne donne qu'aux artistes » (raisonnement méprisant qu'on ne pardonnerait guère au premier sarkozyste venu, convenons-en !) par pur esprit « Front populaire ». Oui, ce point systématiquement mal placé révèle que GF possède, hélas, des certitudes, même s'il dirait probablement le contraire ! Et en orthographe, comme en politique, il n'y a rien de plus menaçant que les certitudes. (Moi qui vous parle, j'ai tiqué hier quelques minutes sur l'orthographe du mot « cela », que j'avais trop vu orthographié « celà » — aujourd'hui cela me semble l'horreur habituelle mais je dois vous avouer que j'ai eu très peur, hier, d'y perdre latin et santé mentale. Mais il était quatre heures du matin. Je lisais Mars de Fritz Zorn qui ébranle lourdement l'honnête homme ; et puis il y avait justement une vraie petite faute qui traînait en dessous de mon bon « cela » : un déviantissime « il parait », du verbe paraître et non parer, et cette petite faute du coup me colla le méchant doute au sujet du reste. Mais le sommeil répara tout.)

Vous êtes bien courageux de vous être farci ce pensum et avant la lecture, si ce n'est fait, des deux notes, qui sont aussi péniblement longuettes, je vous offre une femme et un homme nus :

En fait non, rien trouvé de vraiment beau, c'est soit le gros porno qui tache soit le léché vulgaire en noir et blanc, mais suis tombé là-dessus. Attention les yeux !


*Une source dont je maintiendrai l'anonymat, dût-on faire passer l'actrice Cachou sur mon corps pour me la faire donner (la source) comme un vulgaire traître, m'a en effet glissé qu'en interne, c'est comme ça qu'était ressentie l'analogie — il faut savoir qu'au tout début, c'est-à-dire il y a dix ans, le modèle avoué était plutôt Canal+, quoi de plus prévisible, puis quand je quittai le navire, après l'explosion de la première bulle et un peu avant celle des tours jumelles, c'était déjà « le TF1 du Web » depuis un petit moment. Quelle sera la suite ? On n'ose espérer une reprise en mains brutale par un fou à la provoc rouge-brune, type Idiot international, imaginez : « Je travaille chez Y., qui est un peu l'Idiot du Web ! » On les verrait moins la ramener, les commerciaux, là, c'est moi qui vous le dis ! Va préparer un argumentaire vendeur avec ça ! « Cette brève sur le nombre de Juifs dans les médias, en page d'accueil ? Ah mais vous n'y êtes pas, monsieur l'annonceur ! Il s'agit d'humour, de saine provocation ; les jeunes adorent ça. Ça fait de l'audience grave chez les cadres sup, si je peux me permettre, monsieur Renault, je serais vous je foncerais, allez, lâchez la maille, quoi, je risque mon boulot moi et puis c'est pas si faux, regardez, Sarkozy, il n'est pas un peu juif ? Comment ça, ça n'a rien à voir ? Et Bayrou ? Juif ! Ségolène ? Juive ! Le Pen ? Juif ! » Quelle rigolade ce serait dans les couloirs feutrés, de voir un commercial en roue libre !

**La parenthèse est superflue dans la phrase, elle n'en fait pas partie, elle en est un ajout exogène. Ce qui permet de régler le cas du point — intérieur ou extérieur ? — à coup sûr.
(Premier exemple, je le fais assez souvent, qu'on me pardonne : une phrase entière inscrite entre parenthèses ; le point final faisant partie de cette phrase ajoutée au discours est à l'intérieur de la parenthèse, si bien que, si l'on enlève ladite parenthèse, c'est-à-dire ce qui est entre les parenthèses, eh bien on enlève tout, y compris le point.)
(Si on ne le fait pas, et que comme GF on le laisse traîner en dehors, on obtient deux points successifs — celui, là-haut, après « (...) à coup sûr », et celui qui campe hors de notre parenthèse, qui ne serait pas éliminé en cas de débarrassage de ladite parenthèse, d'où problème).

On le voit (il faut regarder de près, mais on le voit) il y a un souci (quant au cas où la parenthèse est ajoutée comme ici dans une phrase inamovible du discours, il n'y a évidemment aucune raison pour qu'elle gobe le point, qui appartient à la phrase).
(Je vous épargne les cas vicieux. Il y en a.)
Donc Grosse Fatigue est de droite. Je vous remercie.

Nikita Calvus-Mons le 06/04/07 à 17 h 11 dans Social-traître
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Commentaires



Ai-je mal compris (ou raté un épisode), mais tu pousses l’orthographie jusqu’au moindre détail et te soucie des aspects formels au nom du respect du lecteur ?
Je partage ton opinion pour ce qui concerne les aspects formels, ce que tu dénonces là en particulier, cet élitisme de certains vieux de la vieille, leur mépris pour la vulgarisation de leur petit joujou, est d’autant plus risible lorsqu’il les pousse à ne pas soigner le confort de lecture, à savoir la moindre des choses lorsque l’on prétend être lu. Mais je la partage tellement bien cette opinion que je vais plus loin. Le fond aussi se doit de respecter le lecteur. J’ai moi-même beaucoup d’humilité par rapport à mes activités d’internaute, absolument pas pour me protéger des critiques mais parce que je suis lucide, que je sais où j’en suis et ce que j’en attends. Par contre un comportement qui m’insupporte est cette manie courante de descendre ses productions. Pas ton cas de façon générale mais quand tu écris que tes lecteurs sont courageux de s’être farci ce pensum, je tique un peu. Je me le suis farci parce que ça n’en est pas un. De l’ironie certainement dans tes propos, et tu n’y peux rien si tes lecteurs manquent d’humour, mais c’est surtout le contraste avec le contenu de la note qui me fait réagir, puisque tu traites justement du rapport d’auteur à lecteur.

pimpeleu - 07.04.07 à 12:54 - # - Répondre -

Re:

Je prends ça comme un compliment, et je comprends l'énervement dû à la fausse modestie, je le ressens souvent aussi chez d'autres et ça me fait fuir, ça fait forum de discussion, salonnage, hypocrisie. Mais enfin il m'arrive quand même de m'irriter moi-même, surtout quand je vois que je n'écris en ce moment qu'ici alors que j'ai bien d'autres choses à pondre : dans ces cas-là tu peux considérer que le « pensum » m'était adressé à moi-même. Genre : « Je viens de pondre des dizaines de lignes pour critiquer du vide, je me suis relu quatre fois, j'ai corrigé des adjectifs. Et après ? Pour ça ? J'ai fait du vide aussi, du vide sur du vide, alors qu'il fait un temps magnifique dehors ?  Que les femmes sont nues ? Qu'il y a une nouvelle à écrire, un roman en souffrance ? Quelle perte de temps. » Non ?

(Enfin, voilà : je ne pratiquerai plus la fausse modestie à deux ronds, grâce à toi, qui veilles. En voilà du commentaire vivifiant, merci, c'est aussi à ça que sert un blog, il ne faut pas se leurrer... Et puis j'essaierai aussi — ça c'est pour moi, un pense-bête — de ne plus perdre de temps avec mes nuisibles.)

60millions - 10.04.07 à 13:04 - # - Répondre -

Re: Re:

Ah oui, je connais aussi ces relents de pragmatisme, avec ce temps qui ne passe pas mais se perd, bêtement, pendant qu'on pourrait faire de grandes choses, être les héros de nos vies. Sauf qu'en fait la vie de héros ça fout la trouille, alors on fait plein de petites choses inutiles pour se trouver des alibis. Ou alors c'est juste qu'on y pense au pragmatisme, on y pense, puis on se dit: bah rien à foutre ouais.

Je vois ce que tu veux dire sur ton "pensum", et en fait j'avoue, j'ai pinaillé là quand même. J'avais surtout envie de dire mon petit mot je crois,  parce que j'ai beau lire tes derniers posts, et me souvenir de plus anciens, la fausse modestie c'est pas le genre de la maison.
Ceci étant, en terme de démarche par rapport au lecteur, c'est même pas la fausse modestie qui me dérange, ou l'hypocrisie. Quelqu'un qui écrit quelque modeste prose et l' achève par un "t'façon ce que j'écris, c'est de la merde", c'est juste pitoyable. Et pour ma part, ça ne m'empêche pas de juger tout aussi sévèrement, au contraire, puisqu'en prime il insinue que j'aime lire de la merde.
C'est vrai quoi! J'ai une tête à me farcir du pensum franchement?

pimpeleu - 10.04.07 à 22:53 - # - Répondre -

Re: Re: Re:

Tu sais, on a vu bien des belles au visage raffiné lire avec plaisir du Jardin Alexandre,

alors...

60millions - 11.04.07 à 13:29 - # - Répondre -

Re: Re: Re: Re:

Et ça t'attriste? Du moment que la pose de femme cultivée donne un air raffiné à son beau visage, où est le problème? C'est marrant, moi les jolis minots absorbés dans le gribouillage d'un bout de carnet en terrasse d'un PMU, j'aime bien les regarder, de loin, comme des statues, et ce qu'ils écrivent je m'en fiche pas mal. 

pimpeleu - 11.04.07 à 19:19 - # - Répondre -

Re: Re: Re: Re:

Ah non attention il y a deux choses différentes là. Au moins.

Certes, le beau visage se suffit à lui-même, et il n'est pas nouveau que l'on fantasme sur les jolies connes ou, pour le dire plus élégamment, les belles ingénues. Mon dieu, j'ai donné ! (Et je donnerai encore, c'est l'évidence même...)

Mais : Alexandre Jardin dans la bibliothèque de la femme aimée, ça peut être très violent comme tue-l'amour. On a tous connu ça. Chacun son Jardin, hein. (Moi, celle qui m'a fait ça, quelques mois plus tard, m'a mis du Céline Dion dans sa Twingo. Bonjour le cas de conscience !)

L'analogie avec le bellâtre qui remplit son carnet est un peu biaisée, parce que tu parles bien ici de pose, or la nana qui te dit qu'elle a aimé Fanfan, elle ne pose pas du tout ! (Ou alors elle est vraiment complètement à la rue...)

60millions - 12.04.07 à 02:23 - # - Répondre -

Re: Re: Re: Re:

Ah oui, mes excuses, je ne pouvais pas deviner qu'il s'agissait de sentiments et pas d'esthétique.

Là j'avoue, je sèche, je n'ai jamais eu à affronter un cas de figure aussi criant (je parle de Céline Dion), bien que l'on ait tous nos Jardins en effet. J'ai vécu deux ans avec un mec qui lisait les Inrocks par exemple, encore maintenant je ne sais pas quelle force mystérieuse m'a retenue de l'en dégoûter.

pimpeleu - 12.04.07 à 14:19 - # - Répondre -

Arf

Tiens, c'est marrant qu'on parle encore de moi comme ça, alors que, j'avoue : je m'étais oublié. Si si. Je suis passé sur le site pour nettoyer les spams et tuer le temps, et voilà qu'un lien sur mes stats m'envoie ici même et donc.
Oui, effectivement, on peut jouer avec la police, la mise en page, c'est très chiadé tout ça.

C'est même assez dingue de voir à quel point on peut faire propre, etc.

Je tiens à préciser que je ne suis pas de droite. Je sais, c'est dur à croire. Même moi des fois, je me surprend. Je me croyais mort, et me voilà à nouveau dans les bras d'un autre, c'est étrange.

Le problème, c'est que l'on est amené à prendre position : alors là, selon les uns et surtout les autres, on est vite catalogué. Il faut se définir. Tenez : anarchiste. Ni dieu ni maître, et, pour faire réaliste : dans la mesure du possible. Voilà où je voulais en venir. Ni dieu ni maître dans la mesure du possible, ça me convient très bien. Ça n'est pas de droite, je vous l'assure, puisqu'il faut montrer patte blanche.

Bizarre d'être encore là, toujours la justification tardive, l'impression de servir à quelque chose, l'impression d'être lu sans impression, je veux dire : sans imprimerie. Je n'y crois plus mais c'est gentil d'en parler quand même, et c'est assez rare. (Pour le point dans la parenthèse, je sais. J'adore laisser en suspens : c'est musical, pas de coda...).

Bises

GF
>HTTP://GROSSE.FATIGUE.FREE.FR
CECI N'EST PAS UN BLOG, çA N'EXISTE PLUS.


Fatigue - 03.05.07 à 10:45 - # - Répondre -

J'oubliais !

Je ne tourne pas "bêta" en 2007 : le site est fermé, fermé, fermé ! J'écris ailleurs et je fais de mon mieux. Faut donc pas dire ça, puisque c'est fermé. C'est fini. 

Fatigue - 03.05.07 à 10:48 - # - Répondre -

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