60 millions de social-traîtres II
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
Nous n'irons plus au Paris-Paris (sauf moyennant finances)
Ce soir, je ne voulais dire que du bien (en l'occurrence, de ces satanés transalpins, qui ont envoyé ad patres la risible sélection germanique, toujours abondamment pourvue en tricheurs patentés : Lehman, ersatz sans poils du tristement célèbre Harald Schumacher ; Ballack, roi de la transversale mais esprit retors s'il en fut) et j'avais le titre (Italians still do it better, pas mal, non ? avec une photo de Madonna à poil) mais, car il y a un mais, je ne dirai décidément que du mal. Après les social-traîtres de la rue Albert-Nikita, le Paris-Paris, car
le camarade B., en goguette avenue de l'Opéra il n'y a pas dix minutes, me prend pour Zorro et m'appelle à la rescousse : « Écris un truc dégueulasse sur le Paris-Paris, c'est des salauds. » (Pas une découverte, non plus.)
B., tu es vengé, et je suis bien malhonnête, cette fois, car je n'étais pas témoin de l'altercation, et tu viens de m'appeler ostensiblement ivre, mais voilà : le Paris-Paris, c'est tous des cons (à part les dames-pipi, qui sont des connes).
Nikita Calvus-Mons le 05/07/06 à 03 h 17 dans Social-traître
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