60 millions de social-traîtres
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
Sueurs froides, second acte
Cold sweatin' as I dwell in my cell, comme disait la marionnette chantante de Tricky dans Black Steel, ce morceau fantastique qui, je l'ai appris récemment grâce à mon activité de pirate à temps partiel, est en réalité une reprise de Public Enemy. Enfin, une reprise du texte (grandiose), car la musique, par définition, à moins de voler les mêmes samples, elle est difficile à reprendre — d'où sans doute que Trickounet a composé quelque chose de nouveau à la place, et dix fois meilleur, et la question que je me pose à cet instant est celle que je me suis souvent posée et à laquelle il n'y a pas de réponse évidente, sauf à se la raconter grave : est-ce une batterie qu'il y a là-dessus, ou une excellente et rageuse programmation ? (Il y a aussi la solution de lire le livret, mais, étonnamment, je ne l'ai pas sous la main ; quant à effectuer une recherche sur Internet, il en est hors de question.)
Nikita Calvus-Mons le 22/12/06 à 17 h 58 dans Musical-traître
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Commentaires
Boucle de ride saturée
Pimpeleu disait ça, sur l'article d'avant, mais à propos de celui-ci :
Moi, je réponds ça, merci Pimpeleu :
Oui, c'est exactement ça, aux cymbales on sent que ça boucle... Y a la crash/ride et aussi le motif du charley qui n'est pas très « naturel » mais ça je l'ai toujours mis sur le compte de ma propre incapacité à le jouer (a priori). Sur la version lo-fi que j'ai mise en ligne on n'entend pas très bien les entrées du (vrai-faux) set de batterie, mais elles sont impressionnantes, d'où mon doute. Mais tu le balayes un peu plus, là.
60millions - 22.12.06 à 20:07 - # - Répondre -