60 millions de social-traîtres II
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
Têtes à klaxons
Le grand écart musical, de Boyd Rice (Equilibrium) aux Klaxons : je viens de faire ça. Ça fait très mal aux adducteurs. Que c'est mauvais, les Klaxons... C'est aussi laid que leur nom. On m'avait demandé récemment (par l'intercession d'un ami) de traduire les paroles d'un de leurs morceaux, qui étaient déjà, les mots, l' « univers », d'une nullité effrayante. Je l'ai fait d'ailleurs, gratuitement, pas eu de nouvelles (zéro) de la fille du label. Classe. Mais de toute façon c'eût été de l'argent sale, tant le boulot était mauvais et inutile (jamais eu de réponse à ma question sur l'utilisation de cette traduction). Le morceau c'était As Above, So Below ; ça parle de cygnes, la nuit, et sur un ton très... fantastique ? Oui, héroïque-fantastique. La fantasy, quoi, cet univers pour attardés. Enfin : j'ai téléchargé tous les singles des Klaxons — rien qu'écrire le nom fait sale, je trouve — et après quatre ou cinq mesures de chaque, j'ai vite détruit tout ça, fait disparaître les pièces à conviction. C'est d'une laideur criarde, ça oui, pour klaxonner, ça klaxonne...
Nikita Calvus-Mons le 29/09/07 à 17 h 28 dans Musical-traître
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