60 millions de social-traîtres II
« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)
Trente-deux ans
(On m'a offert un lecteur monégasque pour mes trente-deux ans. C'est une nouvelle réjouissante. Mais passons.)
À vingt heures, demain, dans le boui-boui socialiste-réaliste que j'ai fabriqué de mes mains tordues et des vôtres — tout le monde ayant donné son coup de truelle symbolique et parfois même déterminant —, cette date banale sera célébrée moins banalement, à la danoise, ce qui ravira sans doute (au moins à moitié, lutte sempiternelle oblige) le Suédois qui sommeille en Lee.
Y a-t-il lutte sempiternelle entre le Danemark et la Suède, d'ailleurs ? Comme il y a lutte entre l'Anglais et le Français ? (À ce propos, quelle rouste, cet après-midi, mes aïeux...)
Nous savons en tout cas que ces deux pays gutturaux pratiquent avec le même acharnement un sport étonnant, la descente d'akvavit en rappel. La bouteille de Jubilæum que j'ai rapportée de ma dernière escapade glaçante à Copenhague sera sifflée demain par nos soins et nous ferons un sort à ces quatre (4) bocaux de harengs marinés, ce n'est pas beaucoup, venez à l'heure si vous voulez, mes bien chers frères, en tâter. Ces choses sont en effet succulentes.
Nikita Calvus-Mons le 13/03/06 à 01 h 01 dans Social-traître
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Commentaires
Les Bernadotte te gardent une boutanche au rayon frais.
Ils sont consternés et s'emploient à forger des excuses bidonnées invérifiables pour expliquer ce manquement.
(O. P. Anderson, ça ira ?)
Lee Beria Jr - 14.03.06 à 16:22 - # - Répondre -