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60 millions de social-traîtres II

« Chaque homme sait, au fond de lui, qu'il n'est qu'un tas de merde sans intérêt. » (Valerie Solanas)

¡ Yo te quiero, todo corto !

Je précise que je ne connais pas les règles espagnoles de typographie. Ce qui fait qu'entre Te Quiero Puta!, Te Quiero Puta !, Te quiero puta ! et les autres, mon cœur balance. (Normalement ça doit même comporter un de leurs points d'exclamation à l'envers, sûrement, mais outre le fait que la chanson en question est d'origine allemande, ce qui explique simplement l'omission, il paraît que selon un principe bien connu, tout se perd aussi en Espagne, et par conséquent cet usage — assez récent il me semble — est en voie d'extinction, enfin c'est sans doute un des nombreux discours en vogue, j'ai vu ça l'autre jour quelque part, il y a certainement aussi dans le monde hispanophone d'affreux vieillards séniles s'accrochant à leur passé, comme de joyeux incultes que la ponctuation embarrasse tellement qu'ils la malmènent sans vergogne, sin vergüenza...)

Je pencherais bien quand même pour le dernier, Te quiero puta !, très frenchy, donc classieux. Ne sommes-nous pas cousins intimes des Ibères ?

En parlant d'Ibère vous aurez également noté qu'on se pèle enfin le jonc, ce qui contredit le proverbe post-moderne « Il n'y a plus de saisons. »

Nikita Calvus-Mons le 08/11/06 à 19 h 39 dans Littéraire-traître
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Commentaires

Bien évidemment, ils sont des démocrates....

Je ne suis toujours pas épuisé dans mes plats de mots en ce moment... http://andy-verol.blogg.org

Fais de même chez moi, pour l'infos.

andy verol - 09.11.06 à 21:59 - # - Répondre -

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